regard : Hugo LACASSE

Elle s’inspire du Yobe Kemi, la beauté du vide en coréen, qui permet au spectateur de rentrer dans ses peintures. La technique rend libre et cet adage lui sert. Selon elle, la peinture reste vivante par la part qui nous échappe comme une balade en grande roue où ceux qui nous attendent disparaissent et réapparaissent successivement. C’est au fil des détours que Clara arrive à mettre en scène des modèles et avec qui elle explore la valeur des relations dans la production d’oeuvres.

Hugo Lacasse, mars 2015